


Une communauté de soins
Inspiré par Jeffery Hale
Les Partenaires communautaires Jeffery Hale (Partenaires JH) sont un organisme de bienfaisance communautaire dont la mission est d’améliorer la santé et le mieux-être de la communauté d’expression anglaise de la grande région de Québec, en mettant l’accent sur les personnes les plus à risque.

Les Partenaires JH favorisent le bien-être individuel et collectif des personnes d’expression anglaise de la région de Québec en offrant une gamme de programmes de promotion de la santé.
Nous visons à vous offrir des services de qualité et à continuer de développer des programmes et des activités adaptés aux besoins de santé et de services sociaux de la communauté d’expression anglaise.
Vraiment une “communauté de soins” en action!
Les Partenaires JH sont en mesure d’offrir sa gamme d’activités grâce à une étroite collaboration avec l’organisme à but non lucratif Voice of English-speaking Québec (VEQ) et avec Jeffery Hale – Saint Brigid’s, un établissement de santé publique et de services sociaux.
Programmes et initiatives
En mettant l’accent sur la santé et les services sociaux, les Partenaires JH s’efforcent d’améliorer la qualité de vie des membres de la communauté d’expression anglaise, particulièrement des personnes les plus vulnérables, grâce à nos quatre axes stratégiques.
Bien-être communautaire
Activités, services et renseignements utiles d’intérêt général pour la communauté d’expression anglaise.
Famille - petite enfance
Un programme offrant une gamme d’activités pour les parents de jeunes enfants afin de vous soutenir et de vous mettre en contact avec d’autres parents d’expression anglaise.
Cercle des proches aidants
Un programme conçu pour soutenir les proches aidants d’expression anglaise de la région de Québec. Venez rencontrer et échanger avec d’autres proches aidants d’expression anglaise, obtenir du soutien, trouver des ressources et prendre un peu de temps bien mérité pour vous.
Santé des hommes (NOUVEAU)
Un programme destiné aux hommes d’expression anglaise de la grande région de Québec afin de favoriser le bien-être grâce au sport, aux activités sociales et au soutien entre pairs.
Santé mentale
Un programme dédié à votre bien-être mental tout en vous aidant à soutenir les personnes qui vous entourent.
Vieillir en communauté
Un programme qui soutient les aînés d’expression anglaise de la région de Québec en leur donnant accès à des ressources et à des occasions de mener une vie saine, épanouissante et active au sein de leur communauté.
SNACS (Besoins particuliers)
Un programme qui soutient les enfants, les adolescents et les jeunes adultes ayant des besoins particuliers. Des activités encadrées, sécuritaires et inclusives favorisent la socialisation et la stimulation, tout en offrant un répit aux parents.
Jeunes & Engagés
Un programme qui permet aux jeunes adultes d’expression anglaise âgés de 15 à 30 ans de s’impliquer dans leur communauté, d’échanger avec leurs pairs, de trouver du soutien et d’accéder à des ressources précieuses.
Vraiment une “communauté de soins” en action!
Événements à venir

10 h 00 – 12 h 00
Activité halte cerveau : Édition d’été

5:45
Marche de santé à la promenade Samuel-De Champlain

5:45
Marche de santé à la promenade Samuel-De Champlain

1:30 PM - 2:30 PM
ANNULÉ : Cirque les Dudes – Histoires en ville !

RESSOURCES ET LIENS
Les Partenaires JH peuvent fournir des informations sur la population d’expression anglaise de la région métropolitaine de Québec,
particulièrement en ce qui concerne les besoins de santé et de services sociaux de la communauté que nous desservons.

Articles récents du blogue
Notre nouveau logo a une signification particulière :- Des éléments en forme de trèfle pour honorer notre patrimoine.
- Des figures humaines pour représenter la communauté et le partenariat.
- Des formes inspirées par le cœur qui évoquent la gentillesse, la vitalité et l’esprit d’entraide qui guide tout ce que nous faisons.

J’adore le mois de décembre : l’ambiance festive des Fêtes, la magie tranquille du solstice d’hiver et l’excitation des vacances d’hiver à venir avec mes enfants. Mais même si j’adore cette période de l’année, je dois être honnête : la période qui précède peut être intense. La vie de famille devient un tourbillon et la liste des choses à faire semble s’allonger plus vite que je ne peux la cocher.
Chaque année, j’ai certaines traditions qui me sont chères : décorer la maison, faire des pâtisseries, planifier des repas spéciaux, choisir des cadeaux attentionnés. Ces rituels me remplissent de joie… mais ils alourdissent également ma charge mentale déjà débordante. Vous vous reconnaissez dans cette situation ? Ce bourdonnement constant de choses à retenir, à planifier, à programmer, à emballer et à préparer ?
Au milieu d’un emploi du temps déjà chargé, nous essayons tant bien que mal d’en faire encore plus : pâtisseries de Noël, achats, décorations, concerts scolaires, échanges de cadeaux et événements communautaires. Certains jours, je ne sais même pas quand je vais trouver le temps de faire des courses simples, comme retourner un article chez Costco !
Le temps : le prioriser, le protéger, le planifier
C’est là que réside le véritable défi de la saison.
Et puis, il y a la pression, souvent auto-infligée, de vouloir que tout soit parfait. Nous glissons dans un parentalité perfectionniste sans même nous en rendre compte. Mais la vérité, c’est que nous n’avons pas besoin de vacances dignes d’Instagram. Nos enfants n’ont pas besoin que nous recréions une page de magazine ou que nous organisions des réunions impeccablement préparées. Ils ont besoin de nous, présents, calmes, connectés.
Chaque année, en décembre, je dois me rappeler gentiment de me modérer. J’ai tendance à tout faire, que j’accueille vingt personnes ou que je passe simplement des vacances tranquilles avec ma petite famille. Et oui, une partie de moi apprécie vraiment cela ! C’est ce qui rend si difficile de savoir quand s’arrêter.
Mais j’apprends peu à peu que la magie de cette période de l’année ne réside pas dans les décorations, la nourriture ou l’ambiance parfaitement orchestrée. Elle réside dans les petits moments : se blottir sur le canapé, faire un casse-tête ensemble, sortir faire une promenade dans la neige. Ce sont ces souvenirs qui comptent vraiment. Pour nous, dont la famille est loin, ces moments de complicité sont d’autant plus précieux.
Si vous ressentez le poids de la charge mentale en ce mois de décembre, sachez que vous n’êtes pas seul. Nous jonglons tous, nous nous adaptons et faisons de notre mieux. Puissions-nous tous trouver l’équilibre, en honorant les traditions qui nous sont chères tout en préservant notre temps, notre énergie et notre bien-être. Je lève mon verre à une saison qui semble réalisable, pleine de sens et de cœur.

« Voulez-vous avoir d’autres enfants ? » Si vous êtes parent, vous avez probablement entendu cette question plus souvent que vous ne pouvez le compter. Peut-être vous êtes-vous posé la même question. Peut-être avez-vous déjà pris votre décision, ou peut-être que cette décision ne vous appartient même pas. Quoi qu’il en soit, il s’agit d’un sujet profondément personnel, et pourtant c’est souvent l’une des premières questions que les gens posent après la naissance de votre premier enfant.
Mais pourquoi donc ?
Il semble exister un scénario social tacite selon lequel, une fois que vous avez eu un enfant, vous allez naturellement en avoir d’autres. Et si ce n’est pas le cas, on attend de vous que vous expliquiez pourquoi. Que cette pression vienne de votre famille, de vos amis, de vos collègues ou même d’inconnus, elle peut être subtile… ou pas si subtile que ça. Il existe cette idée sous-jacente selon laquelle une famille « complète » doit avoir plusieurs enfants, et que vous vous écartez en quelque sorte de la norme si vous suivez un modèle différent.
Personnellement, je n’ai jamais accordé beaucoup d’importance aux personnes qui me posaient cette question. Cela m’a toujours semblé être une conversation anodine. Mais quand je prends du recul et que j’y réfléchis vraiment, je me rends compte à quel point c’est une question personnelle. Pour certains, c’est un sujet sensible, voire douloureux. La fertilité, les finances, la santé physique et/ou mentale, la dynamique des relations, les objectifs de vie… Tant de facteurs influencent cette décision, et tous ne peuvent pas être abordés ouvertement.
Ce qui rend la tâche encore plus difficile, c’est la rapidité avec laquelle les questions complémentaires fusent une fois que vous avez répondu. Si vous répondez oui, les gens pourraient vous interrompre avec :
- « Quand prévoyez-vous d’avoir le prochain ? »
- «Combien d’année voulez-vous entre vos enfants? »
« Tu vieillis, non ? »
Et si vous répondez non, vous pourriez entendre :
- « Pourquoi pas ? »
- « Tu ne veux pas que ton enfant ait un frère ou une sœur ? »
- « N’est-ce pas égoïste de s’arrêter à un seul ? »
- « Qui prendra soin de toi quand tu seras plus âgé ? »
Ce ne sont pas que des questions anodines. Elles ont du poids, elles véhiculent des suppositions et, souvent, des jugements. Et selon la personne qui les pose, elles peuvent être perçues comme une véritable atteinte à la vie privée. Parfois, j’ai envie de répondre fermement : « Cela ne vous regarde vraiment pas », mais je me contente généralement de sourire et de dévier la conversation aussi gracieusement que possible.
Et puis, il y a la pression supplémentaire des opinions. Nous les avons tous entendues :
- « Il est important pour un enfant de grandir avec des frères et sœurs. »
- « Ça devient plus facile à chaque enfant. »
- « Les enfants vous gardent jeune. »
- « Tu ne devrais pas en prendre plus, tu as déjà l’air débordé. »
- « Et si le prochain était encore plus difficile que le premier ? »
Rien que de lire ça, j’en ai le tournis. Ce qui est particulièrement frustrant, c’est que les parents ont souvent l’impression de devoir défendre leurs choix. Que vous envisagiez d’avoir d’autres enfants, que vous choisissiez de ne pas en avoir ou que vous soyez confronté à des difficultés qui compliquent votre décision ou vous échappent, vous pouvez avoir l’impression de devoir constamment vous justifier.
En réalité, notre société a des attentes profondément ancrées concernant la famille : à quoi elle doit ressembler, quelle taille elle doit avoir et quel avenir elle doit garantir. Mais les familles ne suivent pas un modèle unique. Le parcours de chacun est différent, et parfois, ce parcours ne comprend qu’un seul enfant. Parfois, il n’en comprend aucun. Parfois, il en comprend plusieurs. Et aucun de ces parcours n’est plus « juste » que les autres.
En fin de compte, la décision d’avoir plus d’enfants (ou non) est extrêmement personnelle. Que vous souhaitiez ou non partager votre opinion à ce sujet, c’est à vous seul de décider. La prochaine fois que quelqu’un vous posera la question, n’ayez pas peur de fixer vos limites ou de répondre de la manière qui vous semble la plus sincère.

Parce que personne d’autre que vous ne vit votre vie.
Je vous envoie plein d’amour et d’ondes positives ce mois-ci,
Jessica

Savourez la douceur de septembre
Bonjour à toutes et à tous ! J’espère que ce message vous trouve en forme et que vous profitez pleinement de l’été. Comme août approche à grands pas, j’aimerais…

Savourez la douceur de septembre
Bonjour à toutes et à tous ! J’espère que ce message vous trouve en forme et que vous profitez pleinement de l’été. Comme le mois d’août approche à grands pas, j’aimerais…

Souviens-toi de qui tu es et célèbre-toi
Bonjour à toutes et à tous ! J’espère que ce message vous trouve en forme et que vous profitez pleinement de l’été. Comme août approche à grands pas, j’aimerais…